Si vous voulez gĂącher vos vacances, rendez-vous dans cet hĂŽtel. Presque tout est nĂ©gatif. L'enregistrement commence Ă 15h. Les rĂ©sidents attendent de longues heures Ă la rĂ©ception. La chambre est modeste, sans tĂ©lĂ©vision, sans rĂ©frigĂ©rateur. La femme de mĂ©nage change les serviettes, et c'est tout. Tout cela semble normal comparĂ© Ă ce que j'ai vu par la suite. Le propriĂ©taire de l'hĂŽtel a rempli les chambres de lits, jusqu'Ă ce que la plupart deviennent pentagonales et hexagonales. Il a lancĂ© une offre promotionnelle. Et lĂ , la fĂȘte a commencĂ©. Nous nous sommes retrouvĂ©s dans un hĂŽtel rempli au-delĂ de sa capacitĂ©, avec des doubles de personnes. Il n'y a pas de transats Ă la piscine ni Ă la plage. Impossible de trouver une place pour sauter dans les toboggans. Pour les snacks, il faut attendre des heures pour des pizzas avariĂ©es et des paninis secs. Quant au restaurant, croyez-moi, de toute ma vie, je n'ai jamais vu de files d'attente pareilles. On se croirait dans un restaurant d'aide humanitaire. Des files d'attente interminables. Croyez-moi, vous n'aurez pas votre nourriture mĂȘme aprĂšs une heure de queue. Honteux. Et les employĂ©s des restaurants se plaignent des vacanciers, au lieu de trouver des solutions. Face aux longues files d'attente, de placer nombreux endroits oĂč se restaurer.L'augmentation du nombre de cuisiniers les a poussĂ©s Ă exprimer leur colĂšre sur les vacanciers, les accusant d'ĂȘtre Ă l'origine de ce chaos. C est le plus mauvais sejour de ma vie.